lundi 3 décembre 2012

Concert de Stupeflip, 28 novembre 2012


Mercredi 28 novembre 2012, grand évènement à la Cartonnerie, c’était l’inauguration du nouveau spectacle de Stupeflip. Pour ceux qui ne connaissent pas, c’est un groupe français composé de Julien Barthélémy alias King Ju/Pop-Hip/Raskar-Kapak, Stéphane Bellenger alias Cadillac et Jean-Paul Michel alias MC Salo qui mélange les styles musicaux punk, rap et variété.

Arrivée devant la Cartonnerie, une foule de jeunes, certainement impatients, attend devant l’entrée. L’euphorie se ressent déjà aux portes du concert. Puis, dans la grande salle, le public attend l’entrée spectaculaire du groupe qui démarre avec une énergie incomparable. L’enthousiasme était au rendez-vous pour les spectateurs. C’est dans une ambiance psychédélique que les artistes envahissent la scène, portant chacun un masque différent, censé impressionner et pétrifier la foule.

Le spectacle s’est déroulé en deux parties : d’abord un show enivrant qui nous transporte dans l’univers du « stup » à travers leur musique et leurs apparences, et en deuxième partie, quelques morceaux  préférés de ce groupe passés par leur DJ.

Le rythme sort d’énormes enceintes et de puissantes basses. La salle illuminée par d’époustouflants jeux de lumière, et pour couronner le tout, un bon échange artiste-public nous fait participer à la prestation en finissant les refrains, en dialoguant avec nous… Un événement qu’il ne fallait pas rater, unique, effrayant, nous transportant dans une autre dimension. Bref, un concert Stupé-fiant ! 

lundi 1 octobre 2012

Interview Radio Jeunes Reims

Nos élèves et leur professeur, Madame Brabant, présentent le projet Elektricity/lycée Libergier sur les ondes de Radio Jeunes Reims (septembre 2012)

Pour télécharger le fichier audio de l'interview, cliquez sur le lien :

http://dl.dropbox.com/u/53822622/interviewRJRLibergierpartenlive2.mp3

jeudi 20 septembre 2012

Interview de Brodinski.

Cet après-midi nous avons eu l'honneur d'interviewer Brodinski qui a été super ! 

- Quel effet ça t'a fait de passer du rôle de spectateur étant jeune au rôle d'artiste actuellement ? 
C'est quelque chose qu'on envisage avec le temps. J'ai très rarement été spectateur. J'ai commencé à faire de la musique très jeune. Avant, je n'étais pas beaucoup sorti voir des concerts ou des DJ. Quand j'ai commencé à faire le DJ,   j'avais 16 ans et je n'avais donc pas encore le droit  d'aller en boîte de nuit.  Artiste, c'est aussi un métier et c'est devenu aujourd'hui mon métier et c'est vraiment très impressionnant.

- Nous savons que tu as connu les débuts du festival, d'après toi a-t-il 
évolué ? Et comment ? 
Bien évidemment ça fait 10 ans aujourd'hui que le festival existe et c'est une belle année en plus il fait beau! (rires). Tout va bien sur un cadre magnifique du festival, le parvis de la cathédrale qui est quelque chose qu'on n'avait pas au début...C'était tout petit, c'était moi qui distribuait les tickets quand j'avais 15 ans, les flyers et aujourd'hui être ici et de faire parti de l'histoire du festival,  c'est assez gratifiant.

-Quels rapports entretiens-tu avec le festival ?
On connaît tous les artistes comme Gesaffelstein qui est mon partenaire depuis 2 ans, les Cassius qui sont comme des pères pour nous, des rois de l'électronique. Je parlerai aussi de cette fameuse "scène rémoise" qui regroupe The Shoes, The Bewitched Hands qui ont joué hier soir, Yuksek  avec qui je jouerai ce soir et qui a fait l'after d'hier soir au Palais du Tau. Ça crée des liens entre artistes, forcément. On fait tous des choses différentes, et on sait qu'on peut se rencontrer sur ce festival, jouer devant 5000 personnes, et passer du bon temps. 

-Pourquoi c'est important pour toi de créer ton label? 
Quand on signe avec un label on ne pense pas aller dans d'autres labels. Avec mon propre label, je n'ai pas de délai, je peux sortir mes albums quand j'en ai envie. Et avoir mon propre label me permet aussi d'aider les amis en qui je crois.

- Quel est l'artiste que tu préfères dans le festival cette année ?Je dirais Gesaffelstein. C'est mon partenaire et je suis très content qu'il soit là ce soir. Je lui ai fait une haie d'honneur devant cette magnifique cathédrale et je pense que ce sera un moment mémorable.

-Pour finir, qu'écoutais-tu comme musique au lycée ? 
A peu près la même chose qu'aujourd'hui, c'est à dire tout ce qui est électronique mais j'ai également une grosse culture du rap, le rap américain, qui est mon inspiration première. Ça m'arrive d'en jouer mais c'est très rare. Ce soir j'en jouerai sûrement un peu au Palais du Tau. J'aime aussi beaucoup le spectre, ça ressort énormément de choses et c'est pour ça que j'aime cette musique. J'ai besoin d'écouter beaucoup de nouvelles musiques tous les jours, ça me donne beaucoup d'idées et d'inspiration. Donc le rap américain et le spectre sont vraiment mes  deux styles musicaux de prédilection avec l'électronique.

    

dimanche 16 septembre 2012

Photos des balances du 29 septembre

                                                                           
                                                                                                                             © Tiffanie. L

                                                          ©Tiffanie. L

                                                                                           © Tiffanie. L

samedi 15 septembre 2012

Patrick, chef de la sécurité, samedi 29 septembre

Le grand soir est arrivé, dernier concert de la semaine, les préparatifs se mettent en route. Nous avons eu le plaisir de rencontrer Patrick, qui a accepté de nous accorder quelques minutes.

En tant que chef de la sécurité, il est chargé du bon déroulement du festival…
La gestion du public n’est pas toujours évidente, il faut gérer l’alcoolémie, la consommation de stupéfiants et l’agressivité de certains. Pour limiter les dégâts, les agents de sécurité effectuent des palpations à chaque entrée et mettent en place des zones sécurisées. Malgré tous ces dispositifs, ils sont parfois amenés à appeler la police.
Lors des concerts, la principale tâche de l’équipe est d’observer le comportement du public, quelque fois agité et d’empêcher tout débordement…
En début de carrière Patrick était portier de discothèque, avant que la loi n'impose d'avoir une carte professionnelle pour cette fonction. Il a donc du passer un diplôme de sécurité.




Merci aux 44 agents qui seront présents ce soir !

vendredi 14 septembre 2012

Rencontre avec Ben, des Bewitched Hands


Interview de Ben des Bewitched hands :

14h45 

<! fPourquoi ce nom de groupe ?
<!  Parce que ça veut dire « mains ensorcelées » et que, à la base, c’était plus collectif, on était une dizaine de personnes et on faisait de la musique un peu folk/psychédélique.

  > Qu’est-ce qui vous a amené à travailler ensemble ? Comment vous êtes-vous rencontrés ?
<!- On se connait tous depuis le lycée. Par contre, on avait tous des groupes séparés. Un soir lors d’une carte blanche de Sébastien Adam qui est un des guitaristes du groupe, il nous a tous invités à venir jouer avec lui pour un concert, on s’est mis à jouer tous ensemble les morceaux de chacun et de là sont nés les « Bewitched ».

<!--Et en parlant de votre groupe, y’a-t-il un leader  ?
<!-  Non, il n’y a pas de leader.

<!--Est-il facile de travailler à 6 sur un album ?
<!--Oui, on se connaît tous depuis notre adolescence et donc on a l’habitude de travailler ensemble. Chacun ramène des morceaux, on les écoute ensemble et si ça plaît, on les travaille à 6.

<!>Comment avez-vous travaillé sur votre dernier album ? Quelles ont été vos inspirations ?
<!- Pour les inspirations, on fait tous de la musique depuis 15 ans. Maintenant nous en avons 30 ans, et cela fait déjà 15 ans qu’on écoute plein de musique. Donc, l’inspiration, c’est naturel. Après, on a bossé avec Julien Delfault qui a produit le disque et qui a notamment travaillé avec Phoenix.

<  >Et pourquoi être partis dans un délire mystico-vampirique ?
<! >En fait, ce n’est pas fait exprès. En même temps, ça tombe bien parce que entre notre nom qui signifie « Les mains ensorcelées », la pochette de l’album où quelqu’un se découpe une jambe et la musique qui est un peu psyché, tout cela s’emboîte finalement assez naturellement. Ce n’est pas volontaire, ça s’est fait comme ça, d’où une chanson éponyme qui s’appelle « Vampiric Way ».

<!- Pour parler du festival, quels sont vos ressentis pour cette 10ème édition, et qu’est-ce que cela vous fait de jouer devant la cathédrale ?
<!>Tout d’abord, on est content de jouer pour les 10 ans d’Elektricity. En plus, c’est un festival qui a été créé par un ami qui s’appelle Pierre-Alexandre (Yuksek). On joue à la maison, c’est la sortie de notre album, c’est une grosse date, on est super contents et impatient !

Merci à Ben de nous avoir consacré un peu de son temps !







jeudi 13 septembre 2012

Soirée du 27 : Chassol, Alice Lewis, Thomas Azier et Woodkid


Le 27 septembre, grosse soirée, avec Chassol et son invitée surprise Alice Lewis suivie de Thomas Azier, et Woodkid pour finir qui a embrasé la scène et surtout le public !
Alice Lewis a commencé dans une ambiance cool et chaleureuse, une voix poétique. Une découverte pour la plupart d’entre nous et finalement une révélation. Cette chanteuse nous a vraiment séduit. Puis Thomas Azier dans un style rétro avec un éclairage d’enfer et des ambiances chaudes, une tonalité plus puissante, envahissante.  Les musiciens faisaient corps avec leurs instruments. Enfin le choc !  Woodkid ! 

Des percussions, des cuivres, 8 personnes sur scène ! Enorme show ! Un éclairage qui envoie du lourd. Une sensation très rythmée dans une ambiance plutôt mystique. Woodkid, c’est de la musique, de la vidéo, une recherche scénographique impressionnante qui a enflammé la foule.
Un spectacle mémorable !  
© Badra N.

    Une soirée grandiose qui a tenu ses promesses.  

mercredi 12 septembre 2012

Rencontre avec Marion, chargée de production


Jeudi après-midi, notre groupe est parti réaliser l'interview de Marion, la chargée de production.
 
Elle nous a expliqué son rôle au sein de la Cartonnerie qui se décompose en deux parties: tour manager et organisatrice de concert. Tour manager consiste à gérer les déplacements des artistes: prendre en charge l'achat des billets de train ou d'avion, réservations des hôtels, répondre à leurs demandes même les plus farfelues! De plus, Marion organise le travail de tout le personnel, elle s'occupe également du matériel toujours dans le but de satisfaire au mieux les besoins des artistes.

Le jour du concert, Marion repère les lieux: la salle et le matériel, les loges. C'est l'aboutissement de plusieurs mois de préparation et d'investissement. Marion est passionnée par son métier même si elle rencontre un certain nombre de difficultés. Il est parfois compliqué pour elle de gérer les humeurs de chacun et de concilier les envies de tout le monde. Enfin, elle doit aussi d'anticiper les aléas de la météo.
Merci à Marion pour sa gentillesse, sa disponibilité et sa décontraction.


© Léna C.

mardi 11 septembre 2012

Rencontre avec Fish



Dans l’après-midi du jeudi 27, nous avons rencontré le directeur technique de la cartonnerie, Fish.
Chargé de l’aménagement du site, il s’occupe également de tout ce qui concerne l’aspect scénographique : technique son et lumière mais aussi de la sécurité surtout lors d’un grand festival comme Elektricity. Au début, rien ne le destinait à travailler dans le domaine de la musique et il est devenu musicien par la force des choses. Ceci dit, la musique était quand même l’une de ses passions dont il a fait son métier. Certes, il présente beaucoup de contraintes comme le fait d’y consacrer beaucoup de son temps personnel, d’avoir des horaires difficiles et  aussi une peur omniprésente pour la sécurité du public. Avant d’arriver au stade de directeur technique , il a commencé en bas de l’échelle puis, est devenu intermittent du spectacle .
Enfin,  Fish nous recommande  fortement d’aller voir les « Bewitched Hands » vendredi soir, car ils préparent quelque chose de vraiment cool et original. Pour en savoir plus, on vous laisse faire le déplacement…

© Crystal B.